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NOTRE OBJECTIF : MOINS DE PERSONNES DANS LES HÔPITAUX

Les taux de cancer augmentent dans le monde entier, mais les traitements ne répondent pas encore aux besoins de tous les patients : les hommes et les femmes n'ont pas le même risque de contracter un cancer, n'ont pas le même taux de survie et ne réagissent pas de la même manière aux traitements. C'est pourquoi nous devons améliorer la prévention !

Chez CANCERPREV, nous travaillons sans relâche pour comprendre comment prévenir les cancers du sein et de la peau. Notre équipe est composée de biologistes du cancer, d'épidémiologistes, d'experts en nutrition, de professionnels de la santé expérimentés dans le développement et le traitement du cancer, de mathématiciens, de représentants de groupes socio-économiques vulnérables ainsi que de jeunes chercheurs se formant à des rôles de direction dans le secteur public et privé. Voir ici la liste des institutions de recherche et d'enseignement de haut niveau impliquées.

NOTRE PRIORITÉ : LA PRÉVENTION

Notre objectif est de contribuer à préserver la qualité de vie des patients et de leurs familles, et de réduire les coûts exponentiels qui s'accumulent au cours de la thérapie, pesant à la fois sur les patients et sur la société.

À cette fin, neuf pays européens partageront des ressources humaines et matérielles pendant quatre ans (2019-2023) pour former une génération de jeunes chercheurs sur les principaux coupables du développement du cancer : la stimulation hormonale, l'inflammation chronique et les risques liés au mode de vie. Des milliers d'heures passées dans des laboratoires à travers l'Europe ont montré à notre équipe que la prévention commence par une meilleure compréhension de ces facteurs....

L'AP au microscope

Patrick Aouad (Brisken Lab)

EN QUOI SOMMES-NOUS DIFFÉRENTS ?

Le cancer ne peut pas être étudié en travaillant en silos. Cependant, les interactions entre les biologistes du cancer, les épidémiologistes, les mathématiciens et les généticiens restent rares. Chez CANCERPREV, nous pensons que le tout peut être plus grand que la somme de ses parties.

Les biologistes du cancer et les épidémiologistes ont généralement peu d'occasions d'étudier et de travailler ensemble en début de carrière. Or, les études épidémiologiques fournissent des indications précieuses sur les tendances du cancer. En bénéficiant d'une formation interdisciplinaire dispensée par les meilleurs experts dans leur domaine, les jeunes chercheurs qui seront recrutés pour ce projet s'épargneront des années d'études et de pratique clinique. À la fin du projet, ils seront titulaires d'un doctorat et seront bien équipés pour aider leurs communautés face à l'augmentation des taux de cancer.

Il faut parfois des décennies pour transformer les résultats de la recherche en mesures de santé publique efficaces dont nous pourrions tous bénéficier. L'adhésion des décideurs politiques, des scientifiques de la santé publique et des prestataires de soins de santé permettrait d'accélérer ce processus, ce qui entraînerait une diminution des taux de cancer et des coûts associés pour la société. C'est pourquoi nous nous engageons à partager ouvertement les données et les résultats de nos travaux, tant avec d'autres scientifiques qu'avec le public.